Islande 2024 : jour 2 - Reykjavik (02/01/2024)

Au réveil, on part directement faire des courses au supermarché Kronan voisin, notamment pour pouvoir prendre un petit-déjeuner. Galou nous accompagne, et nous aide à nous repérer et à comprendre ce que l’on achète.

Une cliente locale, bienveillante, nous aide en anglais à choisir notre lait.

Ça nous prend quand même plus de temps qu’on l’imaginait, et on déjeune finalement assez tard, au lever du soleil !

L’heure déjà bien avancée nous dissuade de faire une sortie trop longue aujourd’hui, et on décide d’aller visiter Reykjavik, juste à côté.

On prend plaisir à se promener au hasard dans une capitale (la plus septentrionale du monde !) à taille humaine.

Elle est particulièrement décorée et illuminée, comme ce chat géant ou encore les arbres : c’est sublime !

On découvre rapidement la colonie d’oies cendrées, de cygnes chanteurs et de canards sur le lac (majoritairement gelé) de Tjörnin.

Notre promenade nous amène ensuite sur le front de mer, où le sol gelé nous oblige à chausser les crampons. On pousse jusqu’au Sun Voyager, une sculpture en forme de bateau prêt à quitter le rivage.

Ensuite, nous remontons jusqu’à la Cathédrale à l’architecture très moderne. L’intérieur est très sobre, mais beau quand même.

Puis nous redescendons vers le centre ville, et passant par les nombreuses boutiques de souvenirs, et la rue arc-en-ciel.

Jusqu’à arriver au fameux vendeur de hot dogs (Pylsur), avec garniture complète : oignons frits, oignons frais et 3 sauces. On se régale !

Il nous reste un peu de temps pour flâner dans le port, de nuit. Pas convaincus, on retourne rapidement à la voiture, pour rejoindre notre cocon de la semaine.

Notre appli de prévisions d’aurores boréales nous indique, avec un certain pessimisme cette semaine, que les meilleures chances d’en voir une sont en début de semaine.

Après avoir mangé, on décide donc de s’éloigner des lumières de Reykjavik, en allant vers le lac de Kleifarvatn. On s’y pose pour scruter le ciel partiellement couvert pendant 1 heure, dans le froid, à tour de rôle, mais sans succès. Et la couverture nuageuse se renforce. Les incantations divinatoires désespérées lancées en islandais par Galou par la fenêtre de la voiture n’y changent rien : « Við gefumst upp ! » (On abandonne !)

(C’est en référence à une expérience de la famille Guitard, qui avait vu apparaître une aurore boréale en Islande alors qu’ils s’apprêtaient à renoncer après une longue attente dans le froid.)

On rentre, déçus et pessimistes sur nos chances d’en voir une …