Islande 2024 : jour 6 - retour en France (06/01/2024)

Réveil à 2h00. Ca pique !

On n’arrive pas à tout finir au petit-déjeuner. Il faudra bourrer dans les valises : une chacun, sans sac à dos, comme à l’aller.

Puis on prend la route vers l’aéroport, de nuit, en passant par la location de voiture. Restitution sans encombre. La navette nous emmène jusqu’à l’aéroport voisin.

Au contrôle sécurité, un contrôle aléatoire détecte de la poudre d’explosif sur les mains de Galou ! Branle-bas de combat ! La tension monte chez les contrôleurs, et la fouille se fait soudainement plus méticuleuse et injonctive. Après quelques minutes de fouilles sans résultat, nous reprenons notre périple.

Dans la grande salle d’attente, nous trouvons enfin des « kleinur », fameux beignets torsadés locaux, un peu comme nos bugnes en France.

A l’embarquement, la tentative de Pat de passer avec un petit sac à dos en plus de la valise échoue … Il faut donc mettre dans la valise le contenu du sac à dos, sous peine de supplément dissuasif. Pas simple. Avec l’aide des poches de manteau qui se remplissent, on y arrive finalement.

Le vol se passe bien. Gênés par les ailes de l’avion, nous ne profitons pas des nombreuses indications données par le pilote sur les lieux que nous survolons. Dommage.

A Charles de Gaulle, nous prenons la navette pour Senlis, où Aurélia nous ramène notre voiture, et Séverine nous dépose Jacqueline et Némo.

Ronan reste avec Aurélia à Monchy, et nous reprenons la route à 5 (+ Nemo), vers Montoir. Sur la route, nous mangeons nos sandwichs islandais et nos « kleinur ».

Nous déposons Galou au Zenith de Nantes pour un festival de musique électro avec Erwan, Clara et Anto.

En arrivant à la maison, nous découvrons que les prises de courant ont sauté, et que nous avons perdu le contenu de nos frigos et congélos. C’est la mauvaise surprise au retour d’un voyage fabuleux, tous les cinq, dans un pays aux paysages magnifiques et à la mentalité apaisée.

Nous sommes déjà pressés d’y retourner, pour une découverte plus large, notamment de la côte sud, et avec l’espoir de voir une éruption volcanique, et une belle aurore boréale.