Islande 2024 : jour 1 - le voyage aller (01/01/2024)

On peut compter sur les doigts d’une main les heures écoulées depuis le passage à 2024 quand le réveil sonne pour le grand départ en Islande.

On laisse le Berlingo chez Lolo et Auré, qui nous dépose à Creil pour y prendre la navette vers l’aéroport Charles de Gaulle.

Au terminal 3, les modalités d’embarquement se passent normalement, et on décolle à 11h30 comme prévu, sur l’Airbus A321 de la compagnie Play.

Destination : Keflavik, en Islande (à 40 km de Reykjavik).

Là-bas, le ciel couvert nous empêche de profiter de la vue d’avion. A l’atterrissage, on voit quand même que tout est blanc.

Le temps de récupérer notre Dacia Duster blanc de location, et on file vers notre appartement Airbnb. Malgré les pneus cloutés, qui garantissent une conduite sécurisée même sur sol gelé, le stress est présent.

En trajet, on s’arrête rapidement dans un Subway. Les autochtones pratiquent l’anglais. Ouf !

On arrive à l’appartement en fin d’après-midi, à Garðabær (au 13 Strandvegur, appt 203). La nuit tombe déjà ! (lever du soleil vers 11h15 ; coucher du soleil vers 15h45).

L’appartement est très sympa, bien décoré et aménagé, avec une belle vue sur la mer, qui est à quelques pas. On va s’y plaire et s’y complaire !

Lors d’une petite balade dans le quartier, en bord de mer, Steph, Galou et Ronan croient apercevoir une petite aurore boréale : une tâche verte à l’horizon. Elle est probablement éloignée et atténuée par les lumières de l’agglomération de Reykjavik. Mais quand même, c’est une bonne entrée en matière !

Pendant toute la soirée, des petits feux d’artifice sont tirés ça et là par des particuliers. C’est quasiment en continu ! C’est une tradition en Islande (et dans d’autres parties de la Scandinavie) pour la nouvelle année. Et ce devait être bien plus intense la veille, pour le réveillon du 31 !

Pas de supermarché ouvert le 1^er janvier. On mange le soir ce que l’on trouve dans les placards. On est bien !